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Ados et maquillage (le post le plus léger depuis bien longtemps...)




Ma mère bien aimée, lectrice assidue de mon blog, et de nature assez critique, m’a fait remarquer que mon dernier post n’était vraiment pas drôle.

C’est vrai.

C’est vrai aussi qu’en ce moment, si on a besoin de rire, on n’a pas trop d’occasions de le faire.

Alors voici un post que j’espère plus lumineux. Faisant abstraction de la période sombre, se concentrant sur ce qui est essentiel : vivre (harmonieusement ou pas) avec nos ados.

Alors, d’abord petit avertissement à celles ou ceux qui se sentent au bout du rouleau avec leurs enfants encore petits, épuisés par les allers retours pour les activités (ou plutôt actuellement les « zooms-activités » ce qui n’est pas toujours plus reposant), la bataille pour les devoirs, pour ranger la chambre, les faire manger, se laver, s’habiller, se coiffer…. Vous qui avez entendu sans y prêter attention : « petits enfants, petits soucis », soulevant un sourcil dubitatif. Vous devez savoir que cette phrase (que j’ai moi-même toujours trouvée en mon temps très énervante est (malheureusement) VRAIMENT VRAIE !

Mais qu’elle devrait être un peu modifiée comme suit : « petits enfants petits soucis, ados, emmerdes à gogo ».

Bref, sans vouloir vous effrayer (car j’ai à la maison deux modèles féminins d’ados particulièrement sévèrement atteintes), je souhaite juste vous prévenir. PROFITEZ !

Avant que, comme moi, vous ne compreniez que petits enfants  = en fait la belle vie ! Car si on peut les confier à des BB sitters ou des grands parents pour souffler, A QUI CONFIER DES ADOS REBELLES A PART AUX FLICS ????? (j’ai essayé d’ailleurs, ils n’en ont pas voulu).

Pour commencer, une tentative de décryptage du moment du basculement définitif dans le monde des ados (hélas je ne suis pas encore en mesure de vous dire quand on peut considérer qu’on le quitte) sur un mode léger. Car ayant 2 ados de sexe féminin, je vais vous parler plutôt chiffons mais pas que. Et je commence par le moins trash, le maquillage.

Quand on est ado, c’est connu, on se cherche, et on tente des expériences sur soi-même. Chez moi ça a commencé par le maquillage.

Et voilà comment, dès l’âge de 12 ans, vous allez sans doute surprendre votre fille en train de se maquiller/démaquiller à.23h45 un dimanche soir, des kilos de petits cotons blancs maculés jonchant le sol de sa chambre.

Ou retrouver votre trousse de maquillage/ vernis/ produits de beauté divers, pillée.

Ou vous apercevoir que votre fille ressemble à votre tante Martine tant elle s’est maquillée alors qu’elle vous assure qu’elle n’a rien mis. Mais en passant votre doigt il se forme une trace blanche sur sa joue et une trace marron sur votre doigt

Ou retrouver votre pot de masque / crème pour le corps/pour le visage à 1000 euros le litre vide. Et bien sûr personne ne sait rien.

Au bout d’un moment, vous prenez la décision de tout planquer. Mais le matin, mal réveillée, impossible de vous souvenir de l’endroit de cette planque. D’où énervements, mauvaise humeur. Largement entretenue par la remarque de votre aînée : ben maman ce matin t’as une sale tronche, il faudrait quand même penser à te maquiller hein ?

Mes solutions  :

Surveiller les réduction Séphora pour pouvoir leur acheter du maquillage et espérer pouvoir conserver le vôtre.

Acheter des produits bio, elles détestent ça

Arrêter de vous maquiller

Mettre un cadenas (à chiffres) à votre boite de maquillage.

Partir. Mais où.

Petite remarque : oui je continue à me maquiller. Un peu. Même quand je n’ai pas de zooms. Le maquillage = produit essentiel encore en vente pendant le re-confinement dans mon Monoprix préféré. Youpi. Car, prise de panique, j’avais acheté 4 mascaras d’avance. Planqués bien entendu.

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